Soirée apres le travail [X] [Terminé]

Meggan venait de terminer sa journée de travail, en fait c'est ainsi qu'elle l'appelait mais c'était plus une nuit d'alcool payée par ses clients et de danse payée et par ses clients et par son patron. Elle était assise sur le bar, bien sur le bar et pas au bar, et regardait le fond de la salle d'un air vague. Son amie qui était bar made, qui était beaucoup plus vielle qu'elle, la regardait se demandait pourquoi Meggan gâchait sa jeunesse dans de tels endroit. Après tout elle n'était pas si stupide, et elle pouvait se trouver un emploi plus respectable et plus payant. Lorsqu'elle annonça ses opinions a Meggan celle-ci se mit a rire.

-Voyons Annie! Tu sais que j'adore se travail ! Je suis payée pour faire la fête et danser un peu. Et puis si le gens regardent mon corps et qu'est-ce que ça fait? C'est la seule chose que j'ai! Tu comprends? Je n'ai que mon corps pour vivre, et je vie très bien ainsi.

Elle tomba en bas du comptoir, en essayant de se retourner. Elle avait peut-être légèrement trop bu.

-Tu veux que je t'emmène chez toi chérie?

Un homme qu'elle croyait peut-être avoir déjà vu se tenait devant elle. Il était musclé et ne semblait pas s'attendre a un refus. Meggan se méfiait tout de même de lui mais fit comme si rien etait.

-Bah tu es vraiment gentil toi! Je crois que...

Puis sans prévenir elle se pencha vers l'avant et vomit sur l'homme. Elle se mis alors à rire tellement fort que toute la sale se retourna pour voir ce qui se passait. Et replaça une de ses longues mèches de cheveux puis parla très fort.

-Alors tu me ramènes chez moi? C'est quoi ton nom?

Son patron sortit alors de l'arrière ou il était probablement occupé avec une de ses employée quelques secondes avant. Il la regarda puis songea que c'était peut-être son tour. Alors il lui cria:

-Hey! Meggan viens avec moi à l'arrière!

Meggan savait se qui l'attendait si elle refusait alors elle regarda l'homme puis disparu derrière le mur avec son patron. Elle aurait bien voulu coucher avec l'homme qui sur lequel elle avait vomit, mais en fait s'était peut-être seulement parce qu'elle était saoule Annie la regarda passer derrière avec un sourire triste…
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Elle se réveilla le lendemain matin, couchée en boule sous le comptoir du bar, avec des mèches roses dans les cheveux. Elle ne se rappelait pas de la soirée du jours d'avant, elle se souvenait seulement du visage d'un homme, sur lequel elle se rappelait avoir vomit.

Avec un mal de tete incroyable, Meggan se leva tranquilement de dessous du bar, ses cheveux parsemés de meches roses, et bouclées. Elle s'avanca vers les toilettes , ou quelqu'un avait eu la bonne idée de couvrir le plancher de savon. Bien evidament, Meggan glissa dessus et se retrouva a nouveau sur le sol. Peniblement elle se releva a nouveau, et s'avenca vers le miroir. Son visage etait couver de mascara, car, apparement elle avait pleuré. Elle ne se rappelais pas du tout pourquoi, mais ce genre de soirs, dont elle oubliait les majeures parties etaient tres courant, et elle s'en fichait bien. Elle se netoya le visage, puis, elle sortit du bar, vide a cet heure la.

Le patron avait du partire sans la voir quelques heures plus tard. Meggan ouvrit la porte et fit ebloui par le soleil. Tellement, qu'elle resta plantée la, l'air assez stupide merci durant plusieurs minutes. Ayant dans l'idée de retourner chez elle, elle s'avenca finalement dehors. Sursautant legerement, elle remarqua que des hommes de l'autre coté de la rue la siflaient. Tout le monde la regardait etrangement , comme s'il avaient decouvert qu'elle etait une elipsis. Elle se regarda, et remarqua qu'elle avait toujour ses "vetements" de travail. Si ce n'etait que ca, elle cessa imediatement de s'en faire. Elle se demenda soudain, si son pouvoir pour donner des maux de tete marchait aussi dans le sens inverse, c'est a dire enlever les maux de tete. Elle se concentra sur elle meme, puis chancelante, elle s'ecroula sur le sol, les mais sur la tete. Elle n'avait reussi qu'a agravé son cas, et c'etait une experience qu'elle ne renouvellerait certainement pas. Un douleur lui dechira alors le pied, et elle vit qu'elle vennait de marcher sur un bout de verre, et par le fait meme , qu'elle marchait pied nus. Elle s'assit donc sur le sol, sur le troitoir qui commencait a se remplir de gens. Elle n'avait aucun dons pour les blessures, et elle ne reussit qu'a s'enfoncer le morceau beaucoup plus profond dans sa chaire. Ne voyant aucun moyen de s'en sortir sans plus de blessures, elle pris la mauvaise decision, rester assise la, ou tout le monde la regardait comme si elle etait un animal de cirque.

Amosis titubait encore à cause de l'alcool. Son détail d'entre-jambe s'était arrêté. mais son pantalon restait tout aussi transparent, même si l'on voyait qu'il portait quelque chose.

Alors qu'il se dirigeait vers le Socute dans l'intention de revoir cette fille mystérieusement qui l'intéressait tant, il croisa un groupe de garçon. Celui était en train de siffler un femme en tenue légère qui était assise sur le trottoir. Il reconnut tout de suite en elle la strip-teaseuse canon qu'il voulait revoir.

Dans un geste de jalousie désespéré il se mit à hurler et vociférer des insultes incompréhensible sur le groupe de jeunes. ceux-ci ne cherchèrent pas la provocation et s'écartèrent, sachant qu'Amosis n'était pas dans son état normal. Même après une nuit complète il n'avait pas encore cuver, c'est dire.

Il se tourna vers la femme, s'approcha d'elle doucement. Il arrivait à être conscient mais ne pouvait contrôler certaines réactions. Il semblait tout de même qu'elle avait un pouvoir apaisant sur Amosis.

Il constata sa blessure au pied et s'empressa de la soigner, sans même prendre le temps de lui demander son avis. Sa peau était d'une douceur incroyable. La soigner était un plaisir incontournable dans la vie d'un jeune homme.

C'est seulement après avoir quasiment finit son bandage qu'il lui adressa la parole. Pour cela il sortit son meilleur regard, qui n'allait pas du tout avec l'état dont il était.

"Enchanté je m'appelle Amosis !"

Amosis semblait avoir perdu ses facultés de drague durant la nuit car il ne savait pas quoi dire, ou bien était-ce la spécificité de la femme. [xd le gros suceur...]. Il se contenta de la regarder passionnément.

Surprise qu'un inconnu la soigne, sans rien dire d'autre avant, Meggan était restée muette. Elle avait regardé l’homme, qui se faisait regarder lui aussi comme s'il était fou. En fait, tout deux devaient avoir l'air de deux évadés d'un asile de fou. Ils étaient presque nus et assit dans une rue maintenant bondée de monde. Après quelques instants, l'homme semblait avoir fini, et il la regarda. Le regard qu'il lui lança semblait familier a Meggan, même si elle était certaine qu'il ne faisait pas partit de ses clients ni de sa famille. Ses yeux plongés dans le siens, elle ne compris pas tout de suite les mots qui avaient sortit de sa bouche. Elle répondit assez longtemps après, et assez maladroitement:

-Meggan, Meggan Lloyd. Je...On...On se connait? Et euh..merci. pour...pour ça!

Elle se releva lentement, constatent que son pied ne saignait plus, mais que son mal de tête persistait. Elle avait de la difficulté a se rappeler ou elle avait vu cet homme. Pourtant, si elle avait connu un homme aussi attirant, elle s'en souviendrait sûrement. Elle conclu donc que l'impression de déjà vu était un effet de son imagination. Elle essaya de lire les pensées du nommé Amosis, mais tout semblait confus, peut-être parce qu'il avait lui aussi eu une soirée d'alcool a n'en plus finir. Peut-être aussi que c'était parce que ses propres pensées se mélangeaient avec celles d'Amosis. Peut-etre meme un peu des deux.

Meggan réalisa après quelques autres minutes de silence, qu'elle avait arrêtée de marcher, perdue dans ses pensées. Elle ne se souvenait plus ou elle voulait aller, ni d'ou elle venait, elle voulait simplement rester la, avec cet inconnu qui semblait si mystérieux. Elle le regarda a nouveau, puis elle se rappela enfin qui il etait. C'etait l'homme sur lequel elle avait vomis.

Amosis la pris par la main. Elle souri tout en le suivant au pas de course vers le So cute. Ils furent parcontre intercepté par son patron qui n'avait pas l'air tres content. Lorsque elle le vit, elle serra la main d'Amosis deux fois plus fort, comme pour l'empecher de partir, mais il ne fit pas le moindre mouvement pour s'esquiver. Il etait avec deux hommes qu'on voyait souvent avec lui lorsqu'il s'occupait de contras louches. Meggan ne connaissait pas leurs noms, mais elle leurs avait deja parlé. Elle avait parlé a a peu pres tout ceux qui etait deja entré dans le so cute, ou presque, d'ailleurs. Elle ecouta les echanges d'Amosis et de son patron sans s'en offencer, puisque ce genre de discution a propo d'elle qui la designaient comme un objet etaient plutot chose courante dans sa vie. Amosis s'adressa a elle, ce qui lui parru assez etrange.

"Tu es d'accord hein ?"

Personne ne lui avait jamais demendé son avis, et de toute facons, elle n'hesitait jamais lorsqu'il etait question de faire de l'argent, mais elle resta un moment sans repondre. Elle se sentait intimidé par cet homme, mais elle decida de ne pas le montrer. Elle lui fit un sourir, signe qu'elle etait d'accord, et depassa son patron qui lancait des regards furieux a Amosis, et devant les deux homme qui ne semblait pas avoir d'opinion. Ils etaient simplement stupides, Meggan avait eu l'occasion de s'en rendre compte plusieurs fois. Elle s'avenca vers l'endroit qui portait son nom en petites lettre d'argent puis se retourna enfin vers Amosis. Elle s'avenca vers lui, et sans plus de ceremonie elle l'embrassa son corp collé conte le sien.

Meggan se laissa embrasser par Amosis et passa ses bras alentour de son cou. Elle se doutait que tout le monde devait les regarder mais elle s'en fichait elle était tellement bien avec lui. Par contre elle n'aimait l'idée que sa clientèle sache certains détails sur sa vie personnelle, parce qu'alors on cessait de la voir comme un objet désirable, mais plutôt comme une femme comme les autre, chose qui n'était pas très vendeur. Amosis fini par ouvrir la porte et l'entraîna vers le sofa rose bonbon qui était a l'intérieur. Meggan referma la porte d'un coup de pied e le suivit sans réfléchir. Elle le poussa sur le sofa e l'y suivit. Elle l'embrassa avec plus d'insistance et enleva son haut et son soutien gorge. Elle commença a déboutonner le pantalon a moitié transparent d'Amosis tout en touchant son corps musclé du bout de ses ongles manucuré. Quelqu'un cogna à la porte, mais elle continua sans même se retourner ou s'arrêter. Les yeux noirs d'Amosis la fixaient et il paraissait beaucoup plus beau que la nuit passée, ou elle lui avait vomis dessus. Les coups étaient plus insistants, et la porte finie par s'ouvrir a la volée. L'un des gardes du corps stupide du parton entra.

-Le patron voulait que je vienne surveiller.

-Pardon? Le patron voulait que vous surveilliez quoi au juste?

Elle repondit, parfaitement indifferente de sa nudité presque complete.

-Uh...Ben vous...

-Moi! Et pourquoi voudrait il une chose pareille? Si quelqu'un me surveillait lorsque je fais mon travail, alors se serait une perte de profits pour lui parce que quelqu'un me regarderait sans payer!

Elle sortit son portable de son sac qui traînait sous le sofa laissant Amosis couché dessus, et fit mine de lire un texto.

-Vous voyez dit-elle il a changer d'avis! Alors partez!

-Mais euh...Je...Il a dit...

-Il a changé d'avis alors partez.

Il claqua la porte derrière lui, et Meggan craignait qu'il soit moins idiot qu'elle ne le croyait et qu'il aille poser la question au patron. Dans un moment pareil, elle ne songea même pas a lire les pensées de l'homme gorille, et retourna au près de l'homme qu'elle ne connaissait pas vraiment mais qu'elle trouvait si attirant. Elle l'embrassa a nouveau et lui dit:

-Pourquoi ne t'ai-je jamais vu dans Messlan avant?

Elle lui fit un sourire et embrassa son torse déjà nu descendant toujours plus bas.

(xD la cochonne)

Meggan le jeta sur le sofa et commenca à le harceler de plein de bisoux sensuels comme il les aime. Elle ôta son haut, révélant une poitrine parfaite, correctement formée, aux contours superbement dessinée. elle entama de lui déboutonner son pantalon.

Avant qu'ils n'aient put envisagé quoi que ce soit, un des hommes du patron entra indiscrétement, prétextant un ordre de surveillance. Meggan se chargea de le renvoyer, mais surement allait-il revenir.

Cet intrusion n'eu pas le temps de couper les effets à Amosis, que déjà sa conquête était de retour sur lui, toujours plus excitante.

"Pourquoi ne t'ai-je jamais vu dans Messlan avant?
-je ne fréquente pas les villes touristiques...", se contenta t-il de répondre.

Incruster un dialogue dans une telle situation donnait de la dimension à la relation, la rendant moins interressée, pour ne pas dire moins superficielle.

Il glissa ses mains contre ses fesses bien proportionnées, ce "cul de déesse" comme l'avait appelé son patron. Il se redressa, la souleva et renversa le rapport de domination. Il était désormais sur Meggan, sa tête calée entre ses seins. Il l'a fit frissoner avec le contact de ses lèvres que sa poitrine.

Il se releva, arrachant le pantalon de Meggan, puis il replongea dans les profondeurs du néant. Le néant était paradisiaque. Il joua habilement de sa langue pour rendre ce moment inoubliable.

[HJ: tu devrais renommer le sujet par "censored" ce serait plus réaliste xd]

hj: ta raison...xD sa me fait penser que jai un string qui est marque censored dessus xDD

Amosis la retourna sur le dos et lui enleva son pantalon. Il enfouit sa tête être ses sein et elle eu un petit rire. Elle avait l'impression que rien ne pourrait l'éloigner de lui. Tout de suite après avoir eu cette pensé, une autre, beaucoup moins joyeuse lui vint a l'esprit. Que dirait il lorsqu'il saurait qu'elle était l'un des monstres créés par l'Inquisition. Il la rejetterait probablement. Elle pris alors une décision qui la surpris elle même. Elle repoussa très doucement Amosis et le regarda dans les yeux.

-Je dois te dire quelque chose. C'est important.

Elle avait décidé de tout lui dire maintenant. S'il la rejetait, elle souffrirait beaucoup, c'était sur, mais beaucoup moins que si elle continuait a le voir, que si elle tombait follement en amour avec lui et qu'un jour, il le découvrirait par lui même et partirait très loin. C'était bien sur étrange qu'elle l'arête a ce moment précis, ou elle était si heureuse avec lui, mais si elle ne l'avait pas fait, elle l'aurait regretter.

-Je...Je suis un...Une...Ellipsis. Souffla t'elle terrorisée par ses propres paroles. L'un de ces monstres créé par ces scientifiques...Je ne sais pas si tu en as déjà entendu parler...

Son visage exprimait la peur de la réaction qu'il aurait. Elle baissa timidement la tête, sentant qu'elle allait pleurer. Peut-être était-ce toutes ces émotions ressenties en même temps, ou alors la nuit qu'elle venait de passer. La porte s'ouvrit a nouveau. Cette fois le patron semblait furieux mais a la fois surpris de trouver son employée nue avec l'homme qui avait tenté de l'envoyer dans une autre boite couché sur elle. Décidément cette journée qui avait si bien commencée allait mal finir. Le patron ne disait rien, mais elle ne pouvait rien faire non plus. Elle embrassa Amosis une dernière fois, et se glissa doucement sur le coté quittant la chaleur du corps d'Amosis pour le regard froid de son patron. Elle s'habilla rapidement.

Elle n'osa pas regarder l'homme qu'elle laissait sur le sofa. Le patron lui fit signe de le suivre. Elle le suivit docilement comme une petit chien, des larmes inondant son beau visage. Elle espérait tellement qu'Amosis allait la suivre mais après tout ça elle doutait qu'il ne le fasse. De toute façons, qui voudrait d'un monstre comme elle? Elle s'arrêta brusquement. Elle regarda son patron et dit:

-J'ai oublié...

Elle avait aucune idée de se qu'elle aurais pu oublier, mais elle retourna en courant vers la porte ou son nom était gravé. Elle ouvrit rapidement la porte. Elle avait envie de se jeter sur Amosis , mais finalement, elle ne le fit pas et resta clouée sur place. Se sentant idiote elle ramassa son sac en le fixant, probablement pour la dernière fois de sa vie.

Amosis n'avait rien compris a ce qui venait de se passer. Il était passé du bienêtre chaleureux à un trouble frissonnant.

Meggan venait d'être emmené de force par son patron. Il n'allait pas laisser ça passer. Il courut vers la porte, l'ouvrit brutalement et sortit. Il tomba nez à nez avec les deux gorilles. L'étroit couloir les empêcher de le frapper de force avec les queues de billard, et empêcher tout simplement d'attaquer à deux contre un. Il put aisément les contrôler.

Il agrippa une des queue de billard et la retourna habilement pour lui faire lâcher prise, il mis à bas son premier primate d'un coup bien piqué en pleine face. Pendant ce temps le second tentait de lui donner des coups, mais son homologue lui bloquait toujours le passage. Dès que le premier s'effondra, l'autre copia Amosis et tenta de le piquer. Jamais il n'aurait découvert tout seul cet attaque si basique. Amosis l'esquiva tant qu'il put et lui lança la queue de billard. L'homme, soucieux de les abîmer, la rattrapa. Amosis passa entre ses jambes, se releva, et l'étrangla par derrière. Le gorille tenta tous ce dont il était capable, mais Amosis en lacha prise que lorsque son adversaire était évanoui. Il ne voulait pas les tuer. La faute pourrait être retourné contre Meggan.

Il recourut et retrouva Meggan qui était aux prises avec un autre homme que son patron. Amosis prit la main de la strip-teaseuse. Celle-ci se retourna et il lui dit:

"Ellipsis ou non, je te veux toi..."

Avant même de pouvoir réagir, il venait de se faire assommer par le patron qui attendait depuis le début caché en attendant ce moment...

[HJ: mdr le post romantico-héroique... Je me suis donner du mal ^^]

Peu de temps après on retrouva un défenseur étendu dans une baine à ordure, le corps souillé.

Il dormait paisiblement, encore sous le charme de Venus et de ses courbes. La douleur n'était rien comparé à cela.

Un ronflement sonore marqua la fin de l'aventure.

FIN.