Top des floodeur !

[Bon ben je continue xD]


Haeg décida de reprendre le micro, il envoya un Cerber s'occuper de la batterie, et prit le micro des mains de Febay qui se défendit tant bien que mal mais ne put faire grand chose face à un Inquisiteur tel qu'Haeg. Aussitôt, il brailla dans le micro un langage strictement incompréhensible, bien que ce soit de l'anglais. La chanteuse aux cheveux rouges réussit à continuer impeccablement sur son répertoire, et une petite mamie vint en renforts. Ensemble, ils chantèrent, si ce qu'il firent peut être appelé un chant. Personne dans la salle ne comprit un traître mot de ce qui se disait, mais certains rirent, et d'autres apprécièrent ce nouveau répertoire, et approuvèrent par quelques applaudissements. Pendant que les instruments jouaient leur musique, Haeg continua à faire quelques bruits bizarres et parfaitement inconvenants pour un Inquisiteur de sa classe. Haeg avait engagé un orchestre pour jouer ce titre, et il ne le regrettaient pas, les multiples instruments jouaient parfaitement leur rôle et la mélodie était impressionnante. Aussi entrainante qu'un train en marche à vrai dire... Et il semblait que tout le public était à la gare aujourd'hui. Une chorale vint compléter la mélodie en chantant en rythme pendant qu'Haeg était en train d'achever sa transformation en loup garou. Des poils commençaient en effet à lui pousser partout sur le corps et des griffes remplaçaient désormais ses ongles auparavant bien taillés. Ses yeux avaient viré au rouge et un museau s'avançait sur son pourtant si beau visage... Sa musculature pourtant déjà bien développée devint littéralement impressionnante et fit craquer ses vêtements sans aucun problème. Il prit sa chemise dans une main.. Hum... Une patte, et l'envoya au travers de la salle, après l'avoir préalablement déchirée et griffé à de multiples reprises.. Il se tordait de douleur en hurlant à la mort sur la scène pendant que la musique continuait sans aucun soucis. Les musiciens semblaient s'éclater, la fille aux cheveux rouge faisait un magnifique solo de guitare... Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes. Elle s'approcha du bord de la scène et montra de quoi elle était capable en pinçant les cordes avec classe. Le public commençait à l'apprécier bien plus qu'Haeg, qui leur faisaient peur derrière elle. Cependant, une bonne moitié du public semblait à présent être devenu encore plus fan d'Haeg, car celui-ci venait de montrer à quel point il était imprévisible et de plus son corps de loup garou était bien attirant. Il cria encore une fois, ce qui relança plusieurs musiciens qui voulaient faire valoir leur musique plus que leur chanteur devenu monstre. Une fille s'évanouit dans le public mais personne ne pensa à aller la secourir. Tout le monde était bien plus sidéré par le miracle d'Haeg Ponak qui les émerveillaient à proprement parler. La chanteuse répétait sans cesse "I don't know" à qui voulait bien l'entendre, montrant par là sa totale incompréhension de ce qui était en train de se passer. C'est alors qu'Haeg grimpa dans l'échelle des bruits bizarres qu'ils pouvait produire. Imitant des singes des indigènes ou des poissons en train de se noyer. Beaucoup commençaient à s'inquiéter pour sa santé mentale, déjà que sa santé physique semblait ne pas être au top...

[Allez je m'arrête là mais je vous laisse profiter du reste de la musique où Haeg devient complètement barge xD]

C'est entendant des chanson de brice de nice qu'on voit a quel point les francais peuvent etre nuls en anglais xD. ahahahhHAHAHAHAHA okay ma gueule.

Meggan, revenu en force et porté par de homme a incroyablement beaux et musclé sur un lit (a la cleopatre) ne comptait pas chanter, ni danser. Simplement se montrer en publique telle la totalement inutile Paris Hilton. Comme toute bonne fille a papa inutile, elle avait bien sur un petit chien avec des vetements hautes coutures assortit a ce qu'elle pourtait. LEs homme la deposerent et firent sortire tout les autres..."artistes" de la soiré dans d'atroces soufrances.

Meme si elle ne faisait rien , le publique semblait ebahi par tant de beauté (bien plus que paris hilton...elle est laide...) Des applaudissements et des siflement si firent entendre dans toute la sale Des journalistes prirents des millions de photos et elle passa a la television. On fit meme un film sur cette histoire passionnante qu'on appela l'entré en scene de Meggan Lloyd .

-_- pas inspi ahaha

Une mélodie puis une voix se fît entendre, Alek qui ne s'étais pas pointé depuis longtemps revenais encore plus en force et comptait bien détroné cette hypocrite de son trone...

Un bruit énorme se fit entendre alors que les cris des personnes qui venaient de sortir n'étaient pas encore estompés et tandis que la musiques continuait... Les spectateurs ouvrir de grand yeux et eurent l'impression qu'il se passait un tremblement de terre ... Ou bien que l'immeuble de TF1 étais inéxorablement attiré vers le ciel ... C'est alors que le toit sous laquelle l'énorme salle se trouvait, craqua et fut comme projeté en l'air ... quelques crient retentirent, tout de suite couvert par le bruit sourd du toit qui venait de s'écraser... Un immense avion se plaça alors au dessus d'eux et tous virent Alek quant le rithme s'accéléra ....

Toute la foule était comme captivée ! La femme allongé sur ce lit avec cet affreux chien dans les bras était maintenant laissée pour compte ! Ils hurlèrent tous, sortant briqué et chalumo pour faire une nuée de feu ondulant sous l'avion....

[Allez ! On remet ce topic au gout du jour ! Avec l'arrivée tant attendue (mais pas spectaculaire) d'Alexander Löbner... ^^]

Lancez cette video.

Quelques notes de piano... Plusieurs autres instruments d'accompagnement... Alexander Löbner venait d'arriver, et il comptait bien se faire remarquer.

Il commença à chanter, de sa voix suave et grave... Triste à pleurer et à peine éclairé par quelques spot... La foule se balançait en rythme sur les paroles de sa chanson. On entendit quelques personnes pleurer, touchés par cette musique si douce, calme, mais triste...

* Ok... Encore un blaireau. Va falloir réagir et sauver le public. Encore. *



Febay arriva, sa guitare électrique à la main, les deux amplis de 6 mètres de haut réglés à plein régime juste derrière lui. Il joua. Le public commençait à se lever et à bouger légèrement la tête. Derrière lui, un écran géant projetait les images de la tour de TF1 filmée par un hélicoptère, retransmise sur tout les écrans de Tyral, et d'une bonne partie du monde.

Il se mit à chanter dans un micro à pied placé au centre de la scène, mettant immédiatement le feu à la foule, qui chanta en cœur avec lui. Des feux d'artifices commencèrent à exploser tout autour de l'immeuble et au dessus, il était déjà tard dans la nuit, et on pouvait voir les grandes explosions contraster sur le ciel noir et cacher les nombreuses étoiles luisantes sur le firmament.

Deux rockeurs habillés de rouge et deux noir vinrent le rejoindre sur scène et jouèrent en cohésion avec lui. Tout le monde avait déjà oublié le piano d'Alexander... Et c'était pas plus mal. Soudain, on ralluma les flammes qu'avaient déjà utilisé Febay au début de son concert pour son interprétatiuon de la chanson de Johny Halliday (un débutant!).

Febay jeta sa guitare dans le public tandis que les deux autres joueurs s'occupaient de tenir la musique à la guitare puis prit le micro à la main. Il se pencha en arrière en continuant à chanter, puis se remis droit et s'approcha de chaque bord de la scène, en faisant signe au public de chanter avec lui, ce qu'ils faisaient déjà, mais on nota une augmentation de volume, car Febay savait chauffer les foules.

Febay courut ensuite vers le bord de la scène et se jeta en travers de la foule, continuant à chanter pendant que de très nombreuses mains le portaient.

Je t'emmerde omo-Amo l'ami des autruches xDDD

je taimme quand meme par contre =D

et je psot pas pcq meggan s'est fait envoyer a l'hipotal apres sa derniere prestation....voila

Loin du public chaleureux, loin de la salle médiatisé, loin des rivaux inqualifiés, loin de l'ambiance magique, loin des amis, Amosis avait décidé de continuer le show auprès d'une seule amie, une amie plus que spéciale, car importante.

C'est au chevet de la splendide Meggan qu'Amosis chantait avec douceur et sincérité. Il se devait de rester silencieux dans l'enceinte de l'établissement, mais cela rendait son chant encore plus apaisant.

Deux infirmières passant par là collaient déjà une oreille sur la porte, la bave aux lèvres, déjà charmées. Et il ne faudrait pas leur en vouloir.

[Lire les deux posts à la suite sur la même musique.]



Un homme. Un unique homme, au beau milieu de la scène, avait éclipsé tout les autres. Dans l'ombre, un guitare électrique en main, un tempo bien marqué, un rythme excellent qui avait mainte fois fait ses preuves. Petit à petit, de nombreux instrumentistes le reconnaissaient et venaient le rejoindre. Il commençait à peine à mettre le feu à la foule. Tous étaient embarqué par cette implacable mélodie et claquaient des doigts en rythme dans le public en souriant de bonheur.

Jason revint sur scène, vêtu d'un string en cuir noir moulant, ainsi qu'un chapeau haut de forme noir et une canne très chic, ellle aussi noire.

Il avancait tout doucement, faisant tranquilement le tour de la scène, marchant en rythme. Il remuait sa tête avec style, arborant un visage très expressif. Ses fesses d'acier semblaient claquer elle-même en rythme.

Il entama tranquilement sa chanson, avec une voie viril et sensuel.

Il enleva son chapeau d'une main, le retournant habilement, jonglant avec classe tout en marchant. Il le jeta vers le public, mais d'un geste vif, le ratrapa avec sa canne.

Il s'écarta du public en moon walk, tout en faisant rouler son chapeau sur ses bras.

Le public se languissait de lui, bavant devant leur idole, qui dansait à la Mell Gibson dans "ce que veulent les femmes".

[Petit tripe perso dsl, ça peut paraitre osé, mais c'est avant tout un truc fun, sans critique d'aucune sorte, ni même de moquerie ou de manque de considération, c'est que du pure délire, prenez le comme vous voulez hein, en espérant que ça va plaire ^^]



Amosis entra sur scène vêtu d'un uniforme militaire verdâtre, d'un casque allemand, et d'une petite moustache noire sous les narines.

Il s'arrêta à côté du mur et chanta, une mitraillette MP40 sur l'épaule.

Il tapa du pied et un diaporama démarra, enchainant des images sur le gigantesque mur de la salle.

Les premières images montrait un homme, avec une moustache semblable, au devant d'une armée, composé de beaucoup de char. Ils passèrent sous une statue à son effigie, brandissant un bras devant elle à 45° de dénivellation, une croix célèbre sur l'épaule, la tête haute, le regard fier.

Des images défilèrent, démontrant les souffrances de l'arrière, au moment même où il parlait de "braves gens pleins de raison".

Puis vint les photos de la ville lumière, sombrant sous le poids des armées, exposant sans scrupule la célèbre Tour souillé par la présence ennemie.
Étrangement, cette image revenait chaque fois qu'il envisageait de "quitter Paris". Vraiment étrange.

Au moins il reconnaissait qu'il dépassait les limites, si ça aurait pu en être ainsi.

S'ensuivit ainsi de nombreux cliché datant de la seconde guerre mondiale, plus ou moins tragique, on revoyait les tranchées, remplies de soldats apeurés, de rats affamés, et de sang asséché. Quelques images d'explosions, pour bien marqué le niveau de violence, la plupart sortie directement du "Soldat Ryan", car film très réaliste.

Dans la salle, on entendait des vagues d'onomatopées parcourir la foule, et on se croirait au temps des missives secrètes transmises par la radio de Londres, codait comme il se doit.

Il dépassait les limites, sans un "problème d'éthique", c'est peu de le dire. Mais ça n'empêche que grâce à cela, Amosis a la classe, et c'est bien la seule piètre consolation.

Le jeune homme bougeait un pied à la fois, tournant légèrement sur lui-même, sans un regard vers la foule, tout en surélevant ses épaules en rythme.

On eu droit à des photos pleines de détails à propos des camps de concentration, plus ou moins conviviales, tout frais payés. En effet il parlait d'aller "casser des cailloux en Guyane", mais faut dire qu'il serait bien d'aller balayer devant sa porte, sans vouloir viser qui que ce soit, si ce n'est pas déjà fait.

Le public était scandalisé, mais le défenseur espérait que ça évoque certains souvenirs à quelques uns d'entre eux, suffisamment pour les retenir de continuer les guerres de Tyral. Car rien n'est plus explicite qu'un bon coup de pression. Le monde connait des guerres, et en a connu par tout temps, et en connaitra encore si l'on ne fait rien.

Et pour le moment, la seule chose à faire et de choquer, et ces images en sont une première étape. À la vue du public, il se mit à penser:

*Fermez la bouche je vous prit, on dirait Paris Hilton... Et en plus je fait dans les jeux de mots...*

Amosis étendit ses bras comme pour représenter un avion, et tourna sur lui-même, en marquant des temps de sursaut à cause du rythme.

Faut l'excuser, la folie nous fait faire des choses atrocement ridicules, ou ridiculement atroces, au choix.

Au moment où il mentionna qu'il consommait "le plus de liquide possible", une image assez caricaturale montra des soldats avec la bouche au goulot d'une bouteille de Coca-Cola. On appellera ça la substitution, car y'avait plus de vodka.

Tout de suite après, pour clore les réjouissances, une image de massacre prit place pour illustrer le fait qu'il consommait "même du solide bien en chair, bien enrobant".

Un drapeau fusa au travers de la salle, à la vitesse d'un javelot de jeux Olympique. L'emblème représentait un planisphère en projection azimutale équidistante entouré de deux branches d’olivier stylisées et croisées, deux symboles très parlants; le tout en or sur champ gris-bleu, les mers en blanc. Et c'est sur cette image que le spectacle prit fin, alors même que la vedette était effondré sur le sol, transperçait par le symbole de l'ONU.

L’ancien décor Seconde Guerre mondiale, bien trop ‘‘old-fashion’’ pour la nouvelle star du show, fut vite balayé et enterré (il en fut de même pour Amosis).



Une musique commença à retentir dans la salle remplie par des milliers de personnes. Des personnes suffisamment chaudes pour accueillirent enfin LA star de ce soir.

De grosse Cadillac américaine rouge apparurent sur la scène. Ces véhicules équipés pour le lowride faisaient des bonds à plus de 1m50 du sol. Les bonds se faisaient sur le rythme de la musique. Le rythme d’un cœur qui bat. Le rythme des cœurs de tous les spectateurs qui comprenaient qu’enfin IL était là.

C’est alors que des lumières éclairèrent le coté opposé à la scène. Près des portes de la salle de spectacle, une autre voiture était apparue. La voiture avancée doucement, faisant s’écarter la foule sur son passage. Car en effet se n’était pas une voiture comme les autres.

« - LA JEFF MOBILE !!!! » Cria une jeune fille dans la foule, tout en s’évanouissant d’émotion.

Toute la foule se retourna pour admirer la Jeff Mobile, malgré les meilleures cascades des lowriders jaloux de perdre leur public.

La Jeff Mobile… une voiture de légende… qui n’avait jamais eu la chance de l’admirer dans un magasine ?… Mais cette fois IL avait fait encore plus fort…

En effet, la Jeff Mobile avait été mis en mode décapotable. Sur la plage arrière se trouvait les plus belles femmes du monde qui effectué une danse des plus ‘‘HOT !’’, comme le dit la musique, tout en gardant l’équilibre. Mais en réalité le vrai spectacle de cette voiture était son conducteur… Jeff l’Ellipsis bourreau des cœurs.

Ses cheveux coiffés à merveille lui avaient demandé des heures de travails, et les lunettes de soleil qu’il portait lui donné un coté lover indéniable.

Pour impressionner un peu plus les spectateurs, Jeff activa une petite commande sur le tableau de bord. Des néons rouges s’allumèrent alors sous la voiture, se reflétant sur le noir métallisé de ses bas de caisse.

La voiture arriva progressivement jusqu’à la scène, et au son du ‘‘This is why I’m hot’’ grimpa par une petite pente pour aller se placé au centre des lowriders. La voiture maintenant surélevé, laisser apparaitre sa plaque d’immatriculation où il était modestement écrit ‘‘Irish Lover’’.

Jeff descendit alors de sa voiture, il tendit ensuite sa main aux trois femmes à l’arrière pour les aider, à la manière d’un vrai gentleman.

La foule n’en pouvait plus de crier, et qu’en Jeff prit le micro pour saluer ses fans il promit de leur faire un mot d’excuse pour leur boulot... « Je suis aphone, désolé j’ai vu Jeff hier vous savez ce que s’est. »

Alek, s'était éclipsé discrètement après son dernier show, pour préparer le prochain, seulement beaucoup de monde avaient défilé devant le public et il devait leur rafraichir la mémoire. Mais ce... Jeff lui avait pris sa musique et il allait le payer...

Alek entra dans la salle, directement par l'estrade, et il se positionna derrière les jeunes poulettes qui était avec L'autre. La foule redoubla de cris et se blanc-bec crut que s'était pour lui, erreur ... Il lui attrapa l'épaule et l'envoya valser dans la foule... qui s'écarta pour le laisser s'écraser... Les filles rigolèrent et la musique commença, tendis qu'il sortait un micro du tableau de bord de Sa voiture...



A peine avait-il commencé à chanter, que la foule sentait monter en elle, une haine forte contre Lui, Elle le piétina alors consciencieusement... Les chaise, les tables, tout ce qu'il restait fut renversé, les murs commencèrent à tomber en miette sous les coup de la foule rageuse contre Lui. C'est alors que dans un dernier soubresauts, la salle s'écroula... pour révéler, qu'en faite, ils étaient tous dans un célèbre stade Français où de nombreuses personnes célèbres venaient chanter...

Et partout sur les murs était affiché: "Immense concert des T., ce samedi au profit de la conservation des fond humanitaires de financement de la recherche sur l'influence des bousiers rouges des cotes Sud-Est du japon sur la forme des tunnel de taupes en Transylvanie!!"

[Comment, j'ai pu faire CA ................... ?]

La foule ?! Piétiner Jeff ?! Impossible, mais pourtant vrai… Une mêlée de rugby s’était formée au dessus du corps de la plus grande star de tous les temps…

Les femmes pleuraient la perte de l’homme le plus sexy du show de la soirée… Les hommes essayaient de cacher la profonde tristesse d’avoir perdu leur modèle…

C’est alors que les membres de la mêlée commencèrent, chacun leur tour, à être propulsé de l’autre coté du stade. Et quand il n’en n’eut plus qu’un, Jeff se releva et l’envoya valser jusque dans la cage de but adverse

GOAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAALLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLL !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Le panneau d’affichage affichait alors fièrement : JEFF 1 / VISITOR 0

*Tu l’auras voulu…* pensa Jeff quand il fît un signe de main en direction de l’entrée du stade.

Alors une cinquantaine d’homme en costume Italien s’avancèrent armée de mitraillette toute droite sortit d’un film des années 60. Les hommes se regroupèrent derrière Jeff, l’un l’habilla avec une veste de costume, l’autre lui alluma un cigare dans la bouche, un troisième lui recoiffa les cheveux en arrière, avec de la gomina, et un dernier pris un violon.



Un homme, qui semblait être le supérieur de tous les autres s’avança vers Jeff :

« - Don Jeff, qu’est ce qu’on doit faire ?
- Amène-moi sur scène.
- Si padrino, si. »

La petite troupe s’avança jusqu’à la scène, et encercla bien vite le jeune et fougueux Chef des Ellipsis. Les hommes de Jeff pointèrent leurs mitraillettes sur un Alek à genoux en train de supplier Jeff de lui laisser la vie sauve.

« - Tu veut que je te laisse la vie sauve ? Après ce que tu m’as fait ? Moi qui a étais toujours il padrino pour toi, tu viens me voler la vedette ?! Bien… J’accepte de te laisser la vie sauve, mais… Un jour, peut-être ce jour n’arrivera jamais, je te demanderais de me rendre un service, et ce jours là, tu le ferras pour moi. Maintenant va ! »

Une dizaine des hommes de Jeff raccompagnèrent un Alek aux yeux remplis des larmes causées par la joie d’être toujours en vie, jusqu’à la sortie du stade, où il fut jeté dans le caniveau, avec la consigne de ne pas revenir, ordre du parrain… Don Jeff.

Les projecteurs changèrent soudainement de cible, dévoilant dans un coin sombre deux hommes assis sur une palissade.

L'un d'eux était Amosis. Il chantait d'un air amusé, un bras autour du cou de Jason. Tout deux basculaient sur le côté en rythme, jetant des regards intéressés au parrain, accompagné de smack à distance. Jason claquait des doigts pour donner le tempo à son confrère.

Le parrain et ses mafioso allaient regretter leur origine italienne. La foule en riait, satisfait de ce retour moqueur.

Amosis avait vu Scarface suffisamment de fois pour savoir que rien de tel qu'un bon Claude Barzotti pour remettre en place un tas de spaghetti.

Et en parlant de nourriture, par un heureux hasard, des strip-teaseuse déguisées en truccheti, gnocchetti et cavatelli caserecci entrèrent sur la scène et dansèrent avec sensualité malgré leur costume encombrant. Un hologramme de Vénus tournait autour du parrain, se frottant sur lui avec envie.

[J'espère que ça te va ^^, car j'ai fait ça sur le coude, je ne pouvais pas résister à ton défi ^^]

Deux zigotos sur une palissade, des strip-teaseuses dans des costumes si étrange qu’elles ne pouvaient excité qu’un pervers du niveau d’Amosis, et une piètre imitation Claude Barzotti… Bien suffisamment pour énervé il padrino.

Jeff leva la main bien haute vers le ciel, les gens de la foule entière, qui connaissaient le code, mirent leur mains devant leurs yeux.

Clac ! Fut le bruit de la main de Jeff.

Pan pan pan pan pan pan pan pan pan pan pan pan ! Fut le bruit des mitraillettes des hommes de Jeff.

Toute les danseuses étaient étalées au sol, mortes. L’hologramme était bousillé et Amosis tenait maintenant le cadavre de son ami Jason dans les bras.

Jeff fit claquer une nouvelle fois ses doigts, les mains des membres de la foule se baissèrent, sans une certaine horreur dans les yeux, mais avec toujours ce profond respect et ce grand amour pour leur idole.

Don Jeff s’approcha du micro :

« - Allora ?
- Nous n’avons rien vus padrino ! » Dit toute la foule en cœur.

Jeff se dirigea alors vers Amosis, à qui s’adressa son message suivant :

« - Amosis, l’égyptien, tu as voulu te la jouer américain et il faut maintenant assumer ! »

La lumière du stade changea en quelque chose de plus tamisé, un orchestre complet entra par l’arrière de la scène et commença à jouer. Don Jeff ne mis pas longtemps pour commencer à chanter une spécial dédicace à Amosis.



Amosis avait la rage dans les yeux, tuer les danseuses passait encore, mais s’attaquer à son petit copain, Jason ! Il était bien décidé à se venger. Le défenseur commença alors à courir en direction de la scène, mais il fut vite intercepté par les hommes de Jeff. Un combat éreintant commença alors, Amosis assommait un par un les hommes de Jeff, quand il en fut au dixième, il déchira sa veste en deux. Il padrino qui voyait le spectacle de loin ne put s’empêcher de commenter :

« - Amosis ! Mais qui va payer pour sa ?
- La borsetta di Mamma !! » Crièrent les trois belles choristes derrière Jeff.

Après 7 minutes de combat, Amosis atteignit enfin la scène, il prit son élan et sauta, à la manière d’un Olivier Atton, à près de 15 mètres du sol. Et alors qu’il amorçait sa chute vers Jeff, comme un aigle sur sa proie, le parrain releva un pan de sa veste, saisit le colt qui s’y cachait et tira une balle en plein dans la poitrine de son assaillant qui fut projeté, par le recul, en plein milieu de la foule.

OOoOoOOOooooooooooOOOOooooooOOOoOooOOoOOOoOoOOOoooooooooo
OOOOooooooOOOoOooOOoOOOoOoOOOooooooooooOOOOooooooOOOoOoo
OOoOOOoOoOOOooooooooooOOOOooooooOOOoOooOOoOOOoOoOOOooooo
oooooOOOOooooooOOOoOooOOoOOOoOoOOOooooooooooOOOOooooooOOO
oOooOOoOOOoOoOOOooooooooooOOOOooooooOOOoOooOOoOOOoOoOOO
ooooooooooOOOOooooooOOOoOooOOoOOOoOoOOOooooooooooOOOOooo
oooOOOoOooOOoOOOoOoOOOooooooooooOOOOooooooOOOoOooOOoOOO
oOoOOOooooooooooOOOOooooooOOOoOooOOoOOOoOoOOOooooooooooO
OOOooooooOOOoOooOOoOOOoOoOOOooooooooooOOOOooooooOOOoOoo
OOoOOOoOoOOOooooooooooOOOOooooooOOOoOooOOoOOOoOoOOOoooo
ooooooOOOOooooooOOOoOooOOoOOOoOoOOOooooooooooOOOOooooooO
OOoOooOOoOOOoOoOOOooooooooooOOOOooooooOOOoOooOOoOOOoOoO
OOooooooooooOOOOooooooOOOoOooOOoOOOoOoOOOooooooooooOOOOo
oooooOOOoOooOOoOOOoOoOOOooooooooooOOOOooooooOOOoOooOOoOO
OoOoOOOooooooooooOOOOooooooOOOoOooOOoOOOoOoOOOoooooooooo
OOOOooooooOOOoOooOOoOOOoOoOOOooooooooooOOOOooooooOOOoO
llllllaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
aaaaaaaaaaaaaaaahhh


J'l'imagine trop dans le calendrier celui-la x)

(Juste un ptit truc les dieu du stade => rugbymen, footballeurs

[Allez, un bon gros clin d'oeil à Perusse, y'a rien de mieux ^^]



" Mais bordel y a pas plus d'extraterrestre ici que d'accordéoniste qui joue du Pink Floyd ! "

Qui avait crié ça ? Personne n'en savait rien, mais déjà, il le regrettait. S'il avait obsré un peu mieux la scène, il aurait remarqué que du haut du gradn, perdu quelque part dans la foule, quelqu'un était assis, une jambe croisée par dessus l'autre, et qu'il entamait justement un morceau de Pink Floyd en chantant à voix basse "Money... Pomp, pomp, pomp... Get Away !...". Personne n'avait remarqué qu'il s'agissait bel et bien de Febay, qui se reposait incognito dans la foule, loin du massacre sanglant.

Mais déjà, un spectateur omniscient commençait à se demandait... * Hé merde, bordel, mais il est où ?... L'extraterrestre... *

Un tir de snipe bien placé et l'accordéoniste put refaire la tapisserie. Un second, et voilà.

La foule cherchait désespérément un idole de nouveau debout, et là, il le virent.

Un nuage de fumée en forme de cœur flottait paisiblement à un mètre du sol. Le public était aux anges. Le cœur fut délicatement traversé par un magnifique saut d'autruche. Le cœur de fumée explosa en une multitude de petit cœur qui papillotaient dans les foules avant de se réunir sous la forme de Jason Belham à poil.

L'autruche continuait tranquillement à gambader, chevauchée par Amosis.

*Ils étaient pas morts eux*, pensèrent ensemble les spectateurs, *OOUUUAAIISSS ils sont pas morts !!!!*

Le public les aimaient: mes trois persos.

[Viens pas test !!]

Avant de se faire de nouveau maltraité par une bande de poulpes ménopausées, Amosis fit galoper son destrier jusqu'à Jason. Au passage, il le saisit et le maintenu contre lui, sur le flanc de l'autruche, les corrones dans le vent.

Les trois partirent à la recherche de la maman de Bambie, car de source sur: elle n'est pas morte, et même qu'elle est vivante.

[Ptit clin d'oeil à Jeff]

Quelqu’un avait parlé d’extraterrestre ? Une brèche ouverte à l’imagination, qu’aucun n’avait tenté d’utiliser ? Ou plutôt une perche qu’on avait laissé à quelqu’un de plus important, c’est ce que j’aime à croire.

Une soucoupe apparue alors, contre toute attente, comme guidé par l’esprit divin. Qui l’avait envoyé ? Zeus et tous les maîtres de l’Olympe ? Dieu du haut de son paradis ? Bouddha surveillant le monde sur sa paume ? Personne ne le sait, et personne ne le saura sûrement jamais. Mais une chose est sûr, elle se dirigea au dessus de la scène. Un rayon bleu, semblable au rayon tracteur de Mr George Lucas, attira à elle le corps del padrino, entouré de la lumière qui se reflétait dans les larmes de ses fans et dans celle des personnes attristaient du triste spectacle offert par Amosis et ses 3 persos (3 persos ! C’est de la triche ! ^^).

Le corps monta tout doucement dans les aires, et lorsqu’il fut enfin à bord du vaisseau, un extraterrestre tout gris appuya sur un bouton où un pictogramme, en forme de deux barres parallèles, était dessiné… Le bouton pause !

Une sphère argenté commença à entourer le vaisseau, puis elle s’agrandie de façon exponentielle jusqu’à entourer toute la Terre. À l’intérieure de cette sphère le temps s’était arrêté, sauf à bord du vaisseau, et ce qui sembla durer une seconde pour les spectateurs dura en réalité près de 5 années.

À l’intérieure, une technologie Alien réanima Jeff. Les deux extraterrestres, étrangement semblable aux Asgards découvert par le colonel O’neill, se révélèrent être deux grands fan de Jeff. Dans leur vaisseau, Jeff s’entraina, il souleva de la fonte, couru des centaines de kilomètres sur un tapi, appris le kung-fu, le combat au sabre, les techniques ninjas, la fission-nucléaire, les secret de l’univers, les lois encore inconnues de la physique, l’art de préparer un super soufflée au chocolat, et la vérité sur certains des plus grands secrets terrien.

En effet Jeff savait si la maman de Bambi était vraiment morte, où si s’était le FBI qui avait courir le bruit. Il savait qui a tué JFK, et ce qui s’était passé à Roswell et les véritables orientations sexuelles d’Amosis. L’Ellipsis bourreau des cœurs savait si les hommes étaient bien allés sur la Lune et les vrais causes des attentats du 11 Septembre…

Et enfin quand Don Jeff se sentit prêt, il appuya sur un bouton triangulaire, le bouton lecture. La sphère argentée retourna dans le vaisseau, et les aliens, qui avaient pris le contrôle du système électrique du stade, braquèrent toutes les lumières sur la scène.

Un rayon téléporteur amena une personne de grande importance, Jeff ? Non ! Cette entrée n’était pas pour lui, mais pour la femme classée en deuxième position du top 10 des plus belles femmes au monde, publié dans le Jeff-Mag™… J’ai noméeeeeeeeeeeeeeeee Fergie ! Pourquoi faire venir la numéro 2 me demanderez-vous ? Tout simplement car la numero 1 n’est pas chanteuse !



La foule en délire se mit à crier et à danser, mais que ce passé t-il ???

« The fire in the eyes ! » résonna la voie de Jeff bien haut dans le ciel.

La plus grande star de tout les temps, l’Ellipsis bourreau des cœurs, Il padrino, l’Irish Lover, Don Jeff, etc…Tout ces surnom pour parler d’un seule être exceptionnel, ce même être qui tomber en ce moment en chute libre et qui ralentie, grâce à ses pouvoir, juste au dernier moment pour atterrir en douceur près de Fergie pour continuer son duo des plus puissant.

La foule ne revenait pas, à peine une seconde avant, enfin pour eux, ils perdaient leur plus grande idole, et maintenant IL revenait, plus grand, plus beau, plus fort, plus mâle et les corones plaines d’une envie de se venger sur un son endiablant.

Avec son pouvoir, Jeff attira à lui tout ses ennemis un par un, et leurs donna a tous une bonne leçon. D’abord Amosis, le plus insolent, ensuite Jason le plus vulgaire, puis la veille peau, la plus… ben veille peau ! Puis se fut au tour de Febay, le faux frère qui l’avait vendu, et enfin pour le grand finish, Haeg Ponak.

Toute cette mauvaise troupe pris une raclée sévère, puis fut balancé au fond d’un trou creusé par les extraterrestres, qui y déversèrent un béton des plus solides et à prise rapide, pour ne rien gâcher.

« BEAT IT ! »